Nom:
Kennedy

Prénom:
Isabelle Jacqueline (son deuxième prénom rappelant sa grand-mère Jackie)

¤ Surnom:
Izz - Isa – Belle

Sexe:
Féminin

Age:
20 ans (exception accordée)

Rôle:
Assistante scientifique



Physique:
Isabelle est une jeune femme, dans la fleure de l’âge, plutôt difficile à décrire. D’une simplicité banale, elle dégage une beauté rare pour ceux sachant regarder. Pas très grande, elle se fond facilement dans la foule afin de se faire oublié des gens. De cette timidité, il dégage d’elle une aura d’invisibilité et de vulnérabilité.
D’une peau aussi pâle, jouant parfaitement bien entre apparence cadavérique, voir vampirique et la douceur blanchâtre d’une poupée de porcelaine. Sa pâleur, bien que sa mère l’eut appelé sa Blanche-Neige, lui a d’ailleurs déjà value le surnom d’albinos à l’adolescence, bien que ses prunelle ne soit en aucun cas d’une couleur approchant le rouge. La couleur en est même son complément : vert. Un magnifique vert, rappelant la verdure éclatante du printemps arrivant et nous envoutant de sa splendeur.
Bien que sa timidité soit plus apparente, Belle sait se montrer coquette. Une partie mois connue de sa personne. Elle prendra donc relativement soin d’elle, laissant une marque de noir autour de ses yeux question de se donner un peu de « couleur », appliquant par le fait même un peu de rose à ses lèvres. Quelques bijoux viennent également agrémenter la coquetterie, tout en restant, quelque peu discret.
Préférant le sombre à tout ce qu’elle porte, elle accepte sans hésitation la blouse blanche rattaché à son poste dans les sciences. Le blanc cassant venant malheureusement rappeler la pâleur de son visage ovale entouré par sa chevelure. Bien que tout semble pâle en elle, ses cheveux viennent briser ce concept si fantomatique. D’un brun espresso, sa longue tignasse est tout autant un mystère. Débutant d’un sombre brun et semblant se diriger vers une couleur caramel, le soleil vient modifier la perception de cette couleur en lui laissant resurgir quelques reflets roux. Également contradictoire, sa chevelure peut être à la fois raide et ondulé, sans avoir à les placer d’aucune façon et dégringolant en cascade son dos, allongeant par le fait même sa silhouette sans exception.
L’un dans l’autre, il est facile de voir rapidement qu’isabelle n’a rien d’extraordinaire physiquement. Ne détournant pas les regards des hommes et passant même complètement inaperçu à leur côté.



Caractère:
Aussi difficile soit-il de lui décrire son apparence, encore plus ardu l’est de parler de son caractère contradictoire. D’un tempérament plutôt introvertie, ses émotions se retrouve très souvent refoulé et son visage ainsi indéchiffrable. Néanmoins, une force de caractère sommeil en elle, une force dont elle ne fait que très rarement usage quand les circonstances s’y prêtes. Son invisibilité, dut à sa timidité apparente, n’est qu’en fait le reflet de son introversion et de son désir de ne se lier à personne. Ayant trop souffert d’abandon durant son enfance, cette décision lui est venu d’un naturel. De la solitude, on ne peut plus rien espérer des gens qui nous entour et ainsi éviter de souffrir de l’abandon ou de la trahison. Ne se fier à personne qu’à soi-même, là est son salut.
Obéissante et résolu, son éducation penché sur le secret de son existence, l’a amené à savoir exactement où est sa place. Sachant exactement où son ses limites et qui sont ses supérieurs, elle ne tentera en aucun cas d’aller en l’encontre de ce qui lui est demandé, à une exception près. Bien déterminé à faire tout ce qu’il faut pour faire avancer la science, elle acceptera de faire absolument tout ce qui aura des fins scientifique. Mais une chose saura la freiner : la violence gratuite. Bien qu’elle soit prête à toutes les tortures possibles de l’homme à des fins théorique, ce qui sera fait gratuitement, sans but scientifique, sera pour elle une injure et elle se refusera à s’y soumettre. C’et dans ses moments-là, où elle s’opposera à tout ce qui, selon elle, sera totalement dégradant, que son caractère refoulé prendra alors l’oxygène de la surface.
Malgré toutes ses réticences et ses gardes en matière de relations sociale, l’amour reste toujours une espérance caché au plus profond d’elle-même. Son coté je-m’en-foutisme des gens, cache un désir enfuit de s’attacher à une personne qui saura la comprendre. Sous son apparence froide ce cache donc un cœur qui souhaite se dévoiler, mais qui se retient, cachant une naïveté propres à se faire entourlouper au point d’en souffrir.



Histoire:
*Cette histoire, est top secrète. Les gens se permettant de lire et prendre conscience de cette histoire, seront tenus au secret et devront l’emporter dans la tombe. Ou alors se retrouver là où le secret sera éternellement gardé : Exil.*

Mon histoire, commence bien au-delà de ma naissance. Là ou l’amour secret de deux amants était des plus dangereux. Deux jeunes âmes s’aimant d’un amour impossible, qui leur rendrait la vie bien difficile si cet amour venait à être dévoilé au grand jour. L’un étant marié et connu, voir très célèbre politiquement et sa jeune secrétaire. John Fitzgerald Kennedy Junior et Amanda Parker.

Mes parents ont connu une relation qui dura très longtemps et même trop longtemps. Ma mère s’enticha de lui alors beaucoup trop que s’ils auraient mit fin rapidement à leur relation. Dans son cœur, elle fut toujours sa femme secrète. Le début de leur relation, n’était pas prévu ni attendu non plus. Mon père, apprenant que sa femme, à l’époque, Daryl Hannah, n’était pas en mesure d’avoir des enfants par stérilisation, il en fut anéantit. Ma mère était entrée dans son bureau pour lui apporter ses messages comme à l’habitude alors qu’elle le trouva en peine. Travaillant pour lui depuis quelques années déjà, elle se sentit touché par son malheur et lui accorda son appui dans cette dure épreuve qu’il avait à passer. Les semaines passèrent, les rapprochant de plus en plus jusqu’à ce que l’amour naisse entre eux. Afin d’éviter tout scandale qui aurait put lui nuire à sa carrière, rien ne fut dévoilé et ils s’aimèrent en cachette durant deux ans avant que je fisse mon apparition dans leurs vies.

La nouvelle, bien que réjouissante, de ma venu ne fut pas apprécié de mon père. Non qu’il ne me désira pas réellement, mais bien que sa carrière en écoperait le prix fort si toute l’histoire entre mes parents venait à ce savoir. Mon identité devait donc rester des plus secrète. Par chance, ou par dépit, le décès d’un cousin, Owen, de mon père venait d’avoir lieu. Ma mère ayant été présente à plusieurs soirées où ce dernier était également et ayant échangé plusieurs fou rire ensemble, l’idée vint à mon père de faire croire à une liaison entre eux deux. Ma mère n’en étant pas particulièrement enchanté, comprit que là était sa seule solution. Étant en larmes aux funérailles d’Owen par la situation dans laquelle elle se trouvait, les gens n’y virent alors que du feu. Ma mère étant orpheline, elle dut accepter d’avoir l’appui d’une famille en partie la sienne.

Je naissais donc quelques mois plus tard sous le nom de mon dit père, se rapportant à celui de mon vrai père, Isabelle Jacqueline Kennedy.

Mon enfance se déroula plutôt banal. Somme toute je vécu une vie des plus normale où ma mère, femme de carrière, travaillait beaucoup mais prenait toujours le temps de passer du temps avec son trésor et l’aimant de tout son cœur. Je fus tout de même apparemment très turbulente étant nourrisson. Mais je devais certainement ressentir la peine de ma mère d’être séparé de son unique amour et moi de l’absence paternel. Mais je n’en ai que très peu souffert, étant trop jeune pour me soucier réellement de connaître qui était mon père. Du moins, celui que je croyais l’être. Je n’avais jamais vu ma mère parfaitement heureuse, mais là était mon habitude de vie et ma normalité. Tout comme le fait de ne pas avoir de père, qu’il soit mort avant ma naissance.

Ce n’est que lorsque j’eu l’âge d’entrer à l’école que des changements s’opérèrent chez ma mère, elle semblait plus heureuse. La voyant moins souvent, l’enfant que j’étais alors se dit que la cause de se bonheur était évident : elle n’avait plus à s’occuper tout le temps de moi et pouvait maintenant se débarrasser du fardeau que j’étais. La naïveté de l’enfance… La réelle raison du bonheur de ma mère était que mon père avait divorcé de sa femme et qu’il était de retour sous les draps et dans les bras de ma mère. Je digérai difficilement cette étape de ma vie où ma mère semblait s’éloigner de moi petit à petit. L’égoïsme de l’enfance à toujours vouloir sa mère auprès de sois. Malheureuse que je fusse devenue, je délaissai le goût de l’apprentissage et me retrouvai avec difficulté d’apprentissage. Ma mère dut donc s’occuper à nouveau de moi après les cours afin que je rattrape les difficultés que j’avais mises entre moi et les autres élèves de ma classe. Ma mère redevint alors malheureuse.

J’étais beaucoup trop jeune à l’époque pour comprendre ce qui se passait réellement. Mon père s’était remarié, mais pas avec ma mère. Le fait d’apprendre qu’ils avaient eut une aventure durant toutes ces années alors qu’il avait été marié et qu’il était en fait mon père biologique aurait fait beaucoup trop scandale pour sa carrière, disait-il. Encore une question d’image. Quoi qu’il en soit, ma mère était une fois de plus malheureuse et j’étais persuadé d’en être la cause. Je décidai donc d’adopter la maturité et de me concentrer à l’école pour ne plus lui causer le moindre tracas. Elle fut alors fière de moi et de mon implication. J’étais l’une des plus intelligentes de ma classe. Mais son bonheur ne revint qu’à moitié.

Les années passèrent et j’arrivai à la préadolescence, l’âge où l’on arrive à comprendre d’avantage les choses qui nous entour. Je commençais à avoir certaines questions qui me trottaient dans la tête lorsque j’allais voir ma mère à son travail à la fin de mes cours. Les échanges entre elle et son patron me semblaient anormalement proches pour deux collègues de bureau. Mais je mis tous ses doutes sur le compte de mon imagination enfantin. Ce fut le matin suivant mon onzième anniversaire que les choses furent dévoilées. Ma mère reçut un appel comme quoi elle n’avait pas besoin d’aller travailler puisque son patron venait d’avoir un accident d’avion fatal avec sa femme et sa belle-sœur. À cette nouvelle, ma mère s’effondra plus qu’elle ne l’aurait dut et je compris que mes doutes devaient être vrai : il s’était réellement passé quelque chose entre ma mère et lui. Comprenant qu’elle ne pouvait maintenant plus rien me cacher, elle m’avoua tout. Ainsi donc, mon vrai père n’était pas mort avant ma naissance, mais le 16 juillet 1999, jour de mon onzième anniversaire…

Les révélations de mon existence ce firent à la lecture du testament, alors qu’il me léguait son héritage, à moi, sa descendance. Ma tante Caroline, surprise par ce secret dont elle ignorait tout, prit la décision que mon identité devait à jamais rester secrète afin de préserver la mémoire de son frère et de sa famille. J’eu tout de même droit au montant qui m’était autorisé! Mes études en seraient toute payées sans problème et ainsi mon avenir assuré. Bien ne l’ayant jamais démontré publiquement ou en ma présence, mon père m’aimait. Une lettre de sa par m’étant adressé le disait très clairement. Mais il nous avait abandonné et avait rendu ma mère si malheureuse que je ne lui pardonnerai jamais.

L’argent de mon héritage me servi donc à fréquenter les meilleures écoles possible et ainsi m’assurer un avenir des plus prometteur. Terminant le lycée, j’entrai à l’université en génétique. J’étais la fierté de ma mère et maintenant toute sa vie, n’ayant personne d’autre que moi. Ayant obtenue les meilleurs notes à mon diplôme, je pus entrée dans une faculté où le programme se retrouvait avancé, me permettant rapidement d’être diplômé en génétique et d’atteindre un excellent poste dans la recherche. Mais ma première année fut bouleversé par un incident majeur. Ma mère tomba malade d’un cancer incurable et mourut rapidement. Je m’étais donc d’emblé investit plus qu’il ne l’était demandé, afin d’être en mesure de pouvoir la guérir, mais elle partie beaucoup trop vite…

Me retrouvant toute seule, comme seule parente une tante qui ne désirait pas faire allusion de notre parenté. Je me retrouvai donc à dix-neuf ans, seule et abandonné, orpheline. Pour ne pas succomber à mon malheur comme ma mère l’avait fait toute sa vie, je me concentrai à mes études, en faisant toute ma vie. Mais lorsque je fus diplômé, alors que je ressemblai de plus en plus à mon père et que les doutes commençaient à ce faire de plus en plus sur mes origines, je devint une menace. Ma tante alors, en relation avec le gouvernement, prirent la décision que je devais disparaître.

On m’envoya donc là où je serais utile avec mes connaissance et oublié de tous. Là, où lorsqu’on y met les pieds, on ne repart plus vivant…



¤ Arme(s)?:
La télécommande

Forces/Faiblesses:
Son intelligence et son sens de l’observation lui valent une mémoire et une ruse extraordinaire. Très observatrice, elle arrivera à déceler, constater et comprendre des choses que plusieurs personnes n’arriveraient pas à voir. Ce qui lui vaut une ruse, parfois diabolique. Toutefois, son côté renfermé dut au fait qu’elle ne souhaite se lier à personne, lui vaut mauvaise réputation et ne facilitera en aucun cas ses relations interpersonnels. Sa maladresse lui vaut également quelques remontrances puisqu’elle gâche parfois des résultats de labo.

Phobie:
*Eum… le lien ne fonctionne plus donc je mets de mémoire et je décris*
Arachnophobie : Peur des araignées.
Elle a également peur de trop s’attacher à quelqu’un.

¤ Autres:
Elle est la fille secrète de John F Kennedy Jr.

Personnalité de l’Avatar:
Kristen Stewart

Trois mots clés dans les règles:
[Télépathie - *Ethan* - Marteau]