Nom: Dulac
Prénom: Maël
¤ Surnom :
Sexe: Masculin
Age: 26 ans
Rôle: Prisonnier
Caractère: D’un caractère égal (bien que poussé à bout il puisse en de rare cas devenir violent à l'extrême), volontaire, Maël n’a pas l’habitude de se laisser faire. Il a toujours du se battre pour obtenir ce qu’il voulait. Aussi, il ne baisse pas les bras. La vie l’a déjà rudement éprouvée sans pour autant parvenir à l’aigrir. Sa capacité d’écoute et d’empathie est telle que c’est tout naturellement que les gens viennent se confier à lui et lui raconter leurs petites misères. Séducteur, il trouve toujours les mots propres à remonter le moral. Le petit plus qui chassera les idées noires Il trouve sa joie dans le bonheur des autres. Se sentir utile est pour lui une chose importante. Il n’a jamais apprit à être égoïste, et tendra même la main à quelqu’un qui lui aura fait du mal, persuadé que tout le monde peu changer. Idéaliste et utopique, tel est cet homme qui déteste les cris et apprécie le silence et la tranquillité.
Physique: Bien proportionné, ses cheveux courts, presque noirs, lui donnent un air un peu sauvage car souvent dépeigné. Ses yeux bleus ont fait fondre bien des filles dans ses bras musclés qu’il sait ouvrir lorsque le besoin s’en fait sentir. Son corps athlétique, nerveux, détient une force et une maîtrise bien au dessus de la moyenne, car modelé par les arts martiaux tels que le jujistu et le karaté qu’il pratique depuis son enfance.
1m90 pour 80 kg, son torse imberbe est aussi doux que les fesses d’un bébé, ce qui, loin de nuire à sa virilité, est des plus séduisant selon ses conquêtes
Toujours habillé de jeans et de tee shirt, il privilégie le pratique à l’apparence, et s’il est toujours vêtu de propre, ses vêtements manquent cruellement de variété…
Histoire: Maël est né à Paris, en tout cas c’est là qu’on l’a trouvé, dans le bois de Boulogne, près du chalet des îles, restaurant hautement réputé et coûteux. Il avait été déposé sur la barge qui permet de lier l’ïle à la rive traversant le lac, d’où son nom. Dulac.
Ballotté de familles d’accueil en famille d’adoption, on le disait né sous une mauvaise étoile car malgré l’attachement qu’il provoquait et l’affection qu’il rencontrait parmi les adultes et enfants qu’il côtoyait, c’était à chaque fois lorsque tout semblait aller pour le mieux que soudain tout tournait au vinaigre.
Le père perdait son emploi, la futur mère tombait enfin enceinte alors qu’elle avait été déclaré stérile, le couple se séparait et donc il se retrouvait encore et toujours sur la liste des enfants adoptables.
Finalement, ces échecs successifs ayant attiré l’attention des services sociaux, il fut placé dans un internat, ou il s’intégra rapidement, en particulier grâce à Franck, un professeur de sport qui lui donna goût aux arts martiaux, tant et si bien qu’il ne quitta plus l’établissement. Il y fit ses études, pris sous la protection de cet enseignant qui lui donna envie de donner et protéger les autres. Alors qu’il avait brillamment passé son CAPES, obtenu son diplôme d’Educateur Spécialisé, et qu’il se destinait à travailler main dans la main avec cet homme qui lui avait tout appris, un scandale frappa l’institut et le professeur fut accusé de pédophilie.
Lui même fut obligé de témoigner, et la défense véhémente qu’il opposa aux accusateurs fut prise pour de la complicité.
Une fois de plus ses rêves et projets s’effondrèrent.
Il quitta l’institut et rejoignit un foyer pour jeune dans les quartiers de banlieue Nord de Paris. A Villetaneuse. Aidant comme il pouvait, conseillant, enseignant, il monta un club de sport de combat ou le respect était maître mot.
Club qui fut fermé lorsque de la drogue fut trouvée dans les locaux et s’il fut blanchit, les parents retirèrent leurs enfants car un article avait été placardé sur les murs de l’association annonçant la mort de celui qui l’avait poussé dans l’enseignement. Ne supportant pas les accusations de pédophilie, il s’était suicidé en prison, hors tous savaient qu’il allait lui rendre régulièrement visite.
Déménageant, il partit dans un internat pour enfants difficiles près de l’Ile d’Oléron, là son passé et son nom était inconnu et son savoir faire et son contact avec les délinquants le firent nommé à la tête de l’établissement en moins de six mois. La guigne aurait pu s’arrêter là si son chemin n’avait croisé celui d’un professeur qui avait travaillé dans le même institut que Franck peu avant le scandale.
Les enfants devinrent plus difficile et grâce à quelques confidences Maël se rendit compte que l’ancien collègue de son professeur se livrait la nuit à des sévices sur les petits, le surprenant en action il voulu l’arrêter, mais les forces étaient égales jusqu’à ce que, pour le déstabiliser, l’autre lui avoue avoir été l’auteur des actes infâmes qui avaient valu la prison puis la mort de Franck.
Cela eut l’effet inverse et perdant tout contrôle, il tua son subalterne à mains nues, à force de coups de poings dans le visage.
Lorsqu’il fut arrêté, il n’opposa aucune résistance et s’il regrette parfois son accès de rage, la pensée qu’il ne fera plus de mal aux enfants et que son ami a été vengé suffit à le consoler…
Jugé, envoyé en prison, il fut condamné mais sa mauvaise étoile n’avait pas décidé de l’oublier et trop gentil, il en était venu à être désigné comme tête de turc par les autres détenus… Brimades, humiliations, isolement furent son lot quotidien jusqu’à ce qu’ils ne décident de passer à la vitesse supérieure et d’en faire leur jouet.
Ca, Maël ne l’accepta pas et si depuis toujours il s’était bridé, lorsqu’ils voulurent lui faire connaître le sort des petits pour qui il avait tué, il se rebella et dans la cour de la prison un combat rapide eu lieu laissant sur le sol trois morts, les prisonniers qui voulaient lui faire un sort.
Pour la seconde fois, il ne s'était pas contrôlé, et ses mains, ses pieds, armes meurtrières avaient ôté la vie au lieu d’apprendre les règles de respect et de modération qu'il pronait dans ses cours.
Jusqu’à ce jour il n’a toujours pas accepté le fait d’avoir franchi la barrière et ne cesse de se poser des questions… A-t-il fait le bon choix ? N’y avait-il pas d’autres solutions ? Et si c’était à refaire se laisserait-il faire ?
Quoi qu’il en soit, désormais il est en enfer…
Forces/Faiblesses: Forces : Tenace, courageux, endurant
Faiblesse : sensible, toujours prêt à aider, trop confiant
Phobie: Armes blanches
Délit(s) commis: Meurtres
Objets en votre possession: Vêtements de rechange, stylo et papier, une photo de lui et Franck
Avatar : IAN SOMERHALDER
Trois mots clés dans les règles: [Machination] [Diplodocus] [Dissection]
Comment avez-vous connu Exil ? Par une amie déjà présente