Nom: Parker
Prénom: Jonathan
¤ Surnom: Le Pitbull
Sexe: Masculin
Age: 43 ans
Rôle: Gardien
Physique:
C’est un roc.
D’un sang froid à toute épreuve, il ne laisse que peu deviner ses sentiments sur son visage et revêt souvent un masque impassible.
Toujours vêtu de noir, Jonathan est un homme plutôt grand. Niveau poids, il est dans la moyenne, mais son regard est digne des plus meurtriers tueurs en série.
En réalité, cet ancien policier sait se montrer aimable, parfois, mais pas avec les prisonniers.
Ses collègues peuvent donc dormir tranquilles, ils n'auront pas ce regard extrêmement froid braqué sur eux. Les captifs, en revanche...
Par ailleurs, il ne quitte jamais une petite matraque de cuir souple, qu’il est prompt à dégainer et abattre sur les plus réticents, et un couteau de chasse affûté comme une lame de rasoir sur son tranchant, et profondément crantés de l’autre (il lui a déjà servit plusieurs fois à éventrer un ennemi et lui faire sortir les boyaux, tout ça d’un simple tour de poignet)
Jonathan ne se rase pas souvent, aussi n'est-il pas rare de le voir avec une barbe naissante. Ses cheveux, quant à eux, ne seront jamais longs, question pratique, s’il est en général toujours propre, il ne passe pas non plus des heures devant le miroir ou sous la douche. Efficacité avant tout.
Une voix rauque, due à la consommation excessive de tabac complète le personnage qui ne donne pas forcément envie de taper la discussion au premier abord. Et ça lui convient très bien.
Caractère:
Autrefois, l'agent Parker était réputé pour ses manières fortes. Au cours de ses arrestations, il se montrait toujours particulièrement violent avec les hors-la-loi, prétextant que le fait de violer la loi était ce qu'il connaissait de plus écœurant sur cette planète.
Avec un criminel, il se montre donc sans pitié, et il aime par ailleurs appliquer la loi du Talion; "Tu lui as tiré une balle dans le genou? Eh bien, je vais faire pareil avec toi!"
Avec les autres, c'est un homme qui peut se montrer de compagnie agréable, et qui peut même faire preuve d'humour et de sensibilité. Toutefois, il a toujours veillé à ne pas s’attacher, créer des liens c’est le début des ennuis, il y a toujours un connard prêt à se
Servir de ceux que vous aimez pour faire pression ou se venger et ça il préfère éviter.
Malgré tout il est humain, et il a connu comme tout le monde son lot de trahison et de blessures, mais il les cache bien profondément enfoui au fond de lui.
Peu Bavard, d’un langage parfois fleuri, il ne mâche pas ses mots et quant-il a quelque chose à dire, s’il se retient cinq minutes c’est déjà bien. Dans ce cas il restera un instant à vous fusiller du regard sans rien dire avant de soit aller faire un tour pour se calmer, soit de vous dire vos quatre vérités en face, afin de mettre les points sur les i, les barres sur les t, voire son poing dans votre gueule.
Histoire:
Issu d’une famille monoparentale, confié à la garde du père car sa mère s’étant fait la malle à plusieurs reprises avant de quitter définitivement le foyer alors qu’il n’avait pas six ans, il apprit très vite à être indépendant.
Fils de policier, très tôt il suivit les traces de son paternel, déjà à l’école, il faisait le shérif et gare à ceux qui volaient, trichaient, malmenaient les autres, non, ne croyez pas qu’il allait les dénoncer auprès des professeurs, ils avaient droit à un avertissement oral, puis une chute dans l’escalier, une blessure en cour de sport, les enfants à cet âge sont si maladroits. Mis à l’écart car gosse de flic, il en avait prit son parti et était tombé dans l’extrême. Ce n’est pas pour cela qu’il allait s’en vanter. Il faisait ce qui devait être fait. Point.
Taciturne, peu bavard, il n’était pas du genre à avoir de nombreux amis, juste des connaissances, il avait vu combien aimer peu faire souffrir à travers l’expérience de son père et si celui-ci s’était réfugié dans son travail, alignant les félicitations et médailles d’honneur, lui, travaillait en classe suffisamment, mais pas trop, pour ne pas attirer l’attention et ne pas lui donner de soucis supplémentaires, et bien qu’intelligent, il privilégia le sport et les matières propre à le faire entrer à l’école de police.
Dès le début, il fut remarqué, alors que les bleus en étaient à s’amuser et se congratuler d’avoir réussi l’examen, lui était déjà en train d’arrêter un vandale qui déçu de ne pas avoir été reçu saccageait la salle d’examen.
Sortant du lot, il usa les coéquipiers comme des chaussures bon marché, peu voulaient bosser avec lui car si son tableau de chasse était impressionnant, ses méthodes n’avaient rien de diplomatiques…
Lorsqu’on lui confiait un dossier, il le menait jusqu’au bout, quelles que soient les têtes qui devaient tomber, pas de cadeaux. Ils avaient violé la loi, ils devaient payer. Œil pour Œil. Dent pour dent, voir le dentier en intérêt…
Son père était fier de lui, mais ne pu profiter longtemps de sa retraite, deux semaines après voir rendu son arme, il se faisait descendre par un caïd qui venait de sortir de taule pour bonne conduite.
Jonathan qui n’avait jamais demandé quoi que ce soit à sa direction fit la requête d’être chargé de l’affaire et sous la promesse qu’il ne se ferait pas justice lui-même l’obtint.
En une semaine tout le gang fut mis sous les verrous et en un mois, il réunit, seul, témoignages et preuves dans un dossier en béton qui emmena leur chef à la perpétuité pour différents meurtres mais aussi pour tout un tas de petits délits qui augmentèrent sa peine à un emprisonnement de 380 années.
Afin d’éviter qu’une seconde « bonne conduite » ou un changement de loi, ne lui permette un jour (même très éloigné) de s’en sortir, il s’occupa de lui tirer une balle entre les deux yeux lors de sa sortie quotidienne dans la cour. Une balle de M40A1. L’origine du tir provenait d’un immeuble en construction situé à 900 mètres de là, le temps que les gardiens réagissent, lui avait rangé son matériel et était parti.
Pas vu, pas prit, et même si les suspicions étaient fortes il avait été vu sur des caméras de contrôle en train de prendre de l’essence à 50km de là au même moment… La technologie a parfois du bon.
Orienté dans un service « discret » où l’on s’occupait de « cas particuliers », il fit la connaissance d’Ethan Blight qu’on lui fourra dans les pattes. Au début, la première chose qu’il eut envie de faire c’est de prendre une agrafeuse pour lui clouer le bec - au sens propre et non au figuré – mais malgré ses manières agaçantes et sa faculté à réfléchir plus par sa queue que par sa tête, le petit était doué d’une intelligence et d’une facilité d’analyse hors pair… Alors il supporta celui qu’il appelait affectueusement « Gamin », allant même parfois jusqu’à aller boire une bière avec lui après une enquête. Un respect mutuel s’était établi entre les deux hommes et même si parfois il leur arrivait de n’être pas d’accord et de s’expliquer, il fut le co-équipier auquel il resta le plus attaché.
Aussi lorsque plus tard, il fut emprisonné, c’est lui qui fit jouer ses relations pour qu’Ethan sorte de prison et le rejoigne dans le projet « EXIL » qu’il avait intégré trois ans plus tôt.
En effet, en un endroit chef lieu de nulle part, où les droits de l’homme sont une douce utopie, le fait que ce soient des condamnés à mort et non des animaux qui n’ont rien demandé, qui soient utilisés pour servir de Cobaye lui paraît plus juste et plus fiable.
Personne n’est innocent, et vous aurez beau tenter de l’apitoyer, je vous avertis de suite c’est mal barré.
Incorruptible, les rares personnes qui ont tenté leur chance dans ce domaine, l’ont payé très cher, en général le double de la peine et un petit « entretien » privé qui leur a fait passer le goût d’en redemander, alors évitez.
Armes(s): Une matraque de cuir souple, noire, d’une vingtaine de centimètres qui ne le quitte pas, et un couteau de chasse à crans de même taille (en plus des menottes et autres effets)
Forces/Faiblesses:: Tenace, rancunier, têtu, borné et volontaire, son surnom est bien mérité, lorsqu’il a une proie, il ne la lâche pas.
Phobie: Agoraphobe. Il déteste la foule et dans ces cas s’énervent très facilement au grand dam de ceux qui peuvent se mettre en travers de son chemin.
¤ Autres: ---
Personnalité de l’Avatar: Jean Reno
Trois mots clés dans les règles: [Machination] [Diplodocus] [Dissection]
Comment avez-vous connu Exil ? T’as pas compris petit. Ici, c’est moi qui pose les questions !
Je n'ai, en fait, aucune chose à redire (normal, j'avais déjà lu, hé hé).
)
Cela me tarde de tester vos limites Monsieur Parker !