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Hoshi Seikyo [Prisonnière] |
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Hoshi Seikyo
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Cellule : A-01
Date d'inscription : 12/12/2008
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| Sujet: Hoshi Seikyo [Prisonnière] Ven 12 Déc - 14:42 |
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Nom : Prénom : Nom : Hosh, Shishi, Sei ?
C’est à vous de voir,
Elle n’a pas l’habitude de parler d’elle à la troisième personne,
Et encore moins en utilisant un surnom !
Bon, et avant, Sushi. Sexe : Âge : Caractère Hoshi est une jeune fille âgée de vingt-deux ans, qui, au premier abord parait docile et charmante, mais ce n’est qu’une impression, nous sommes d’accord. D’origine japonaise, elle a un teint plutôt clair. Sont visage est illuminé par ces lèvres pulpeuses et finement dessinées d’un teint un peu rosé. Ses yeux en amande, à peine bridés sont marrons foncés, presque noirs, ce qui s’accorde parfaitement aux cheveux de la prisonnière, étant donné qu’ils sont eux aussi bruns très foncés avec des reflets geais. D’ailleurs, ceux-ci son raides, lui tombant délicatement sur la poitrine avec élégance. Sinon cela, elle a l’air plutôt élancée, de fait sa taille plutôt maigrelette, cependant, elle ne mesure pas plus d’un mètre soixante-cinq, mais ce n’est pas pour autant qu’elle se sent en position de soumission. Sa poitrine n’est pas trop généreuse, juste assez pour ne pas être plate à vrai dire. Niveaux vestimentaire, Hoshi a toujours aimé le luxe, la simplicité, et l’originalité, surtout quand les trois étaient mélangés, c’est d’ailleurs pour cette raison qu’elle a toujours quelques colliers ou broches pour décorer ces tenues à sa manières, qu’un tiers de son ancienne garde-robe était de la haute couture, ou tout au moins de la bonne marque, et qu’elle ne négligeait jamais de paraître naturelle et avec classe, ce qui expliquait ces autres tenues, ou encore ces chaussures, des plus simples que l’on puisse imaginé, sauf si elle les avait déjà customisées. Cependant, elle peut passer d’un style à un autre sans réelles difficultés. D’un point de vue expressif, la jeune adolescente affiche souvent un grand sourire de gamine, ou un air mystérieux, voir interrogateur. Celui-ci notamment lorsqu’on lui parle, du fait qu’elle ne comprennent pas toujours tout. Physique : Hoshi est une jeune fille qui sait restait elle même en toute circonstance, tout en jouant la parfaite comédie, j'entend par là qu'en étant elle-même, cella ne l'empêche pas de jouer la comédie en prenant la place d'un autre, ou en cachant son jeu à merveille. Elle qui a le goût du jeu, elle aime particulièrement le poker, jeu dans lequel elle excelle, sûrement dut au fait qu'il faille bluffait. Ensuite, à l'époque où elle était libre, elle était quasi-certaine de ne pouvait être attrapée par des personnes telles que celles présentent au FBI, elle jouissait de sa liberté en narguant de temps en temps celui-ci, enfin, sinon cella, elle avait juste l'air d'être une femme comme les autre, peut-être un peu plus bornée et souriante que la moyenne... Commençons ensuite par ces bons côtés qui sont... très peu nombreux, il faut se l'avouer, enfin, elle est très maternelle est souriante, prenant soin de celui ou celle qui sait être proche d'elle, chose assez difficile... Quand je dis maternelle, c'est qu'il suffit qu'elle trouve quelqu'un qui ronchonne et de plus jeune, et, elle craque, c'est tout aussi bête que ça... C'est sûrement le côté le plus affectif de son caractère, Hoshi est une mère anticipée qui n’aura jamais d’enfant (vous avez vu beaucoup de personne avoir un bébé en prison alors qu’ils sont condamnés à mort ?). Passons maintenant à l'autre facette de sa personnalité, il s'agit là d'une fille ronchonne et furax, toujours colérique, on peut de cette manière aisément la qualifiée d'harpie. Fessant toujours preuve de sarcasme, d'humour noir et d'ironie, Etoile ne sait s'arrêter, et ça lui vaux bien des problèmes, elle se moque de tout ceux qu'elle croise, excepté ceux dont elle estime qu'il ne faut pas, c'est à dire : pas grand monde! Sinon, il lui arrive d'être colérique et sauvage, voire même bestiale, mieux vaux ne pas se mettre en travers de son chemin lors de ces instants-ci. Cependant, elle a de nombreux points faibles, il suffit qu'on s'en prennent à un être cher pour qu'elle ne se contrôle plus, elle perd alors tout son sang froid qu'elle a généralement tout le reste du temps, mais, s'en prendre à ces proches, à ces êtres chers... même si elle est sûre qu'elle perdra, dans ce cas là, elle vous défiera quand même...
Cependant, il lui arrive d'être indécise et de perdre sa confiance en elle...
Autres choses importantes à signalées, Hoshi ne regrette pas ce qu’elle a fait, si elle devait revenir en arrière, elle ferait sûrement les même erreurs, la seule chose qu’elle regrette, c’est de s’être fait attrapée, du moins aussi bêtement. Elle passe souvent son histoire en boucle dans sa tête, avec une certaine nostalgie, et imagine parfois ce qu’aurait put être sa vie si elle ne s’était pas lancée dans la voie du crime. Sinon rêveuse, elle s’absente souvent de sa cellule pour rejoindre la terre ferme, dans son esprit. Toujours en train d’inventer quelque chose, elle est très créative. Histoire : Forces & Faiblesses :Forces :Hoshi est une fille de caractère, elle ne se laisse pas intimidée facilement et n'hésite pas à être franche, jusqu'à blesser. Sinon, on peut dire qu'elle est crédible, d'ailleurs, peu de monde remet sa parole en doute... A vrai dire, elle n'essaye pas de mentir, sauf pour arriver à ces fins, mais en justice, elle ne l'a jamais fait.
Sinon, on peut dire d'elle qu'elle est une fille intelligente, bien qu'elle ne le montre pas toujours, à ce demander si elle est complètement idiote. Oh, et elle sait très bien construire de choses, elle a un esprit mécanique. Faiblesses : Assez égoïste et refermée sur elle-même, dans le sens où elle se montre dure envers les autre malgré son caractère plus ou moins docile, elle n'aime pas partager sa vie. Assez colérique, elle s'emporte plutôt facilement, devenant trop agressive et impolie. Sinon, elle est gamine, et, bien qu'elle soit crédible, elle est aussi très crédule. Malgré tout cela, elle sait se mettre des limites, mais elle ne les atteints jamais car celles-ci sont trop hautes. Oui, Hoshi ne sait pas s'arrêter...
Sinon, elle est arrogante et hautaine, et cela lui vaut quelques ennuis. Qualités & Defauts : Qualités :Hoshi est une fille très maternelle, et le fait qu’elle soit dans une prison n’y changera rien, en effet, si elle troue quelqu’un à materner, ou du moins à protéger et presque même à chérir, elle le fera, soyez en certains.
Ce-ci explique donc son caractère protecteur qui ressort parfois. En effet, bien qu’assez égoïste, elle aime aider et protéger les autres, surtout quand elle à quelque chose à en tirer à vrai dire.
Dans toutes circonstances, la jeune prisonnière sait restée naturelle, en effet, ce n’est pas parce qu’elle n’est pas dans son monde qu’elle se sent mal à l’aise, aussi, elle ne joue pas la comédie, sauf si elle veux s’amuser un brin.
Hosh’ est très crédible, en effet, son naturel la fait mentir à merveille, comme si tous ces mensonges étaient vrais.
Toujours souriante, elle essaye de respiré la joie de vivre, même dans cet endroit isolé.
Plutôt extravertie et sûre d’elle, elle n’hésite pas à s’exprimer, quitte à s’en prendre plein la gueule.
La jeune fille est très intelligente, cependant, elle n’en fait pas toujours bon usage. Mais bon, chaque uns ces tords, non ? Défauts : Un peu trop agressive, la jeune fille prends souvent les choses pour elle et les revoie un peu trop violemment. Aussi, ce-ci peut la rendre bestiale, j’entends par là le fait qu’elle ne se contrôle plus du tout et ne réfléchit plus.
Aussi, Hoshi est trop joueuse, c'est-à-dire qu’elle ne prend pas assez les choses à sérieux, croyant que tout est un jeu, mais aussi qu’elle est trop gamine dans le fond.
Colérique est également un adjectif correspondant à la perfection à Hoshi, cependant, elle essaye de s’améliorer sur ce point…
On peut également dire qu'elle est hautaine et désagréable, désirant toujours avoir le dernier mot.
Hoshi est une fille de caractère, elle ne se laisse pas intimidée facilement et n'hésite pas à être franche, jusqu'à blesser. Sinon, on peut dire qu'elle est crédible, d'ailleurs, peu de monde remet sa parole en doute... A vrai dire, elle n'essaye pas de mentir, sauf pour arriver à ces fins, mais en justice, elle ne l'a jamais fait.
Sinon, on peut dire d'elle qu'elle est une fille intelligente, bien qu'elle ne le montre pas toujours, à ce demander si elle est complètement idiote. Oh, et elle sait très bien construire de choses, elle a un esprit mécanique. Faiblesses : Assez égoïste et refermée sur elle-même, dans le sens où elle se montre dure envers les autre malgré son caractère plus ou moins docile, elle n'aime pas partager sa vie. Assez colérique, elle s'emporte plutôt facilement, devenant trop agressive et impolie. Sinon, elle est gamine, et, bien qu'elle soit crédible, elle est aussi très crédule. Malgré tout cela, elle sait se mettre des limites, mais elle ne les atteints jamais car celles-ci sont trop hautes. Oui, Hoshi ne sait pas s'arrêter...
Sinon, elle est arrogante et hautaine, et cela lui vaut quelques ennuis. Phobie : Elle n’a pas de réelle grande phobie,
Quoi que dernièrement, elle deviendrait un tant soit peu hématophobe, sauf s'il s'agit de son propre sang*, ainsi qu'acraphobe, ce qui n’avait jamais été le cas au part avant, au contraire, c’était presque un fantasme, avant. Délits commis : - Vol à main armé,
- Fabrication illégale d’armes et de bombes,
- Trafic de drogue et d’arme,
- Meurtre [Homicide Volontaire avec ou sans préméditation]
- Incendies Volontaires.
Objet en la possession d'Hoshi : Hoshi choisit elle-même ce qu’elle voulait prendre, escortée par le FBI dans son appartement, les mains menottées, encadrée par deux gardes sur ces côtés, et trois autre derrière elle. Elle se dirigeât versa sa chambre, où l’un des garde lui ouvrit sa penderie, il y prit un des cartons qu’elle gardait pour autrefois rangeait ces quelques créations qu’elle revendait au marché noir. Enfin, elle désigna plusieurs vêtements et accessoires qu’ils mirent dans le carton. Après quoi, ils changèrent de pièces pour se rendre dans le salon. La captive demanda aux agents d’ouvrir le meuble à droite de son écran plat, et d’y prendre quelques livres, certains étaient des romans, d'autres sont des dictionnaires multi-lingues, et une ou deux BD, au total, moins de dix ouvrages afin de mieux s'adapter, et que ce ne soir pas trop encombrant. « Respectons les dernières volontés d’un mort» avait dit le chef de l’expédition. Hoshi demandât alors si, dans les objets qu’elle devait prendre étaient compté sa brosse à dent. A vrai dire, personne ne savait s’ils en fournissaient là bas, mais ils lui refusèrent tout de même, se disant que si elle le voulait, elle trouverait. On lui pris ensuite un carnet neuf et une trousse avec des crayons et stylos (Note aux admins : elle ne se rebellera pas avec.) Les deux derniers objets qu’elle choisit furent un assortiment de petites peluches, toutes accrochées à son sac, sauf sa peluche d'animal mort -celle très à la mode en ce moment, Skelanimals- qu'elle porterait à la main. D'ailleurs, ce sac est un sac coussin ayant le design d’un panda, auquel été attaché une mini peluche, elle aussi panda. Hoshi est incarnée par : Autre petites choses... : *En avançant dans le RP, elle aura de plus en plus peur de son propre sang, comme peut le savoir Kate.
La jeune fille est ambidextre, elle a quelques tics et manies, comme mordre sa lèvre inférieure quand elle manque de mots, jouer avec une mèche de cheveux, fait craquer certains de ces os... Enfin, des tics nerveux... Sinon elle est trilingue. Lorsqu'elle est énervée, elle injure en Japonais, ça langue maternelle...
Elle s'est toujours, depuis qu'elle connait Nathan, considérée comme un objet... Un objet auquel il faut qu'on obéisse. Trois mots clefs : Un Sushi a prit un Marteau et a voulut faire de la Télépathie... Mais il a pas réussit !
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Hoshi Seikyo
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| Sujet: Re: Hoshi Seikyo [Prisonnière] Ven 12 Déc - 16:10 |
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Elle était là, la blondinette, dans l’une de ces ruelle sombre de New York, elle avait l’air d’attendre quelqu’un, mais personne ne semblait savoir qui, et elle, le savait elle ? C’était peut-être un ami, un amant ou une victime… Peut-être personne en fait… Mais voilà, elle était là, à attendre, quelqu’un, quelque chose. Elle posât sa main sur sa poitrine, agrippant durement son pendentif, une babiole achetée à sept dollars soixante-quinze, une babiole qu’un tas d’autre personne possédait… Enfin, après avoir relâché son dit bijoux, elle fixât longuement face à elle. Il y avait une voiture de policiers, ils arrêtaient un dealer, pas plus âgé que la jeune fille qui observait la scène, mais, ce ne fut qu’au moment où il allait monter dans la voiture, menotté, immobilisé, qu’il dit, d’un air naturel troublant, après avoir crié la délivrance
« Je me retire donc ainsi, j’hôte mon chapeau et je part de ce monde. »
C’est alors que la jeune fille baissât les yeux, mettant son sac à dos sur une épaule, comme une lycéenne sortant des cours, descendant la casquette qu’elle avait sur la tête afin de cacher le haut de son visage, elle mit ces lunettes de soleils, enfilât une jupe au dessus de son slim avant de retiré celui-ci, attachant une cravate autour du col de sa chemise blanche, il était l’heure de partir, ou d’ici, ou de la circulation, et ce, elle le savait très bien, si lui, cet adolescent c’était fait prendre, elle le pouvait aussi… Pour une fois qu’elle avait travaillé en groupe, ça avait mal tourné, il fallait qu’elle s’échappe, et, ce, au plus vite…
Elle sortit de sa ruelle sombre, remontant ces chaussettes hautes, détachant ces cheveux, quand, un petit garçon, âgé de huit ans tout au plus, vint l’aborder, lui tirant sa jupe, elle se retournât alors vers la tête blonde. Elle avait peur. Très peur. Son cœur battait à cent à l’heure. Enfin, le petit garçon demandât de sa voix innocente :
« Madame, j’ai trouvé ce sac… Est-il à vous… ? Je vous ai vu le déposé. Vous l’aviez oublié ? »
C’en était fini de l’Etoile. C’en était fini de ses heures de gloires, elle avait perdue, mais il fallait quand même qu’elle tente quelque chose, alors, adressant un sourire forcé, crispé, au garçon, elle lui dit :
« Oui, il est à moi, merci… »
Alors qu’elle mit son sac sur sa seconde épaule, elle cédât un peu. Les armes à l’intérieure étaient lourdes. Elle se mit sur le trottoir et regardât les véhicules, appelant un taxi, mais le petit garçon ne semblait pas vouloir la lâché, ce fut de cette manière qu’un policier la remarquât, cette jeune fille, deux sacs sur les épaules, un air suspect, une trace de sang sur le poignet, qu’elle avait oublié d’essuyer…
Enfin, la blonde rentrât dans un taxi, le petit garçon voulut monter avec elle, mais, celle-ci, alors qu’elle l’aurait jeté en dehors du véhicule s’il était de vingt ans plus âgé, le pris sur ces genoux, une femme qui avait observé la scène, s’avançât vers un homme au badge, disant que son fils venait d’avoir été enlevé. Il n’y avait plus à chercher d’excuses pour l’avoir filée. Il ne restait plus qu’à partir…
Cinq avenues plus loin, la japonaise descendit, prenant par la main le petit garçon, puis, elle se mit à courir dans une ruelle, peu fréquentée, mal famée même, et se cachât au bout de l’impasse. Elle était là, la blondinette, et, retirant ces lunettes, sa casquette, elle rangeât le tout dans son sac, arrachant, devant le visage horrifié du petit, ces cheveux qui n’étaient en fait qu’une perruque afin de retrouvé ces cheveux d’origine, bruns et soyeux. Enfin, elle se changeât à nouveau, prenant des airs bien plus classe cette fois-ci, et, mettant la paire de Ray Bann au petit, ainsi que sa casquette Diesel, il fallait qu’il fasse son alibi, il fallait qu’il fasse son gosse de riches. Mais un homme, un peu trop pervers, un couteau à la main, s’approchât des deux personnes, attrapant le garçonnet…
Enervée, exaspérée, la japonaise sortit de l’un de ses sacs un flingue qu’elle pointât au milieu du front de sa prochaine victime.
« Je range mon flingue si tu laisse partir le gamin. »
Et le gosse partit, la brunette lançât son arme au loin, et là l’homme s’approchât d’elle. Elle ne savait pas, que pendant ce temps là, le petit garçon avait indiqué au flics la position de la fugitive. Désormais, ils observaient la scène, elle avait frappé dans les parties sensibles son adversaire, et, l’avait désarmé, ouvrant alors le ventre de l’homme avec son propre couteau. Les policiers appelèrent le FBI, et, en quelques minutes, le temps qu’elle prenne conscience du massacre, de revoir le petit garçon horrifié, à moitié caché par sa paire de lunette, elle sourit, soupirât, et déversât une larme, elle était désormais attachée, immobilisée, morte…
Quelques heures plus tard, elle se trouvait dans les locaux de la FBI, dans une salle d’interrogatoire. Elle n’allait pas chercher à mentir, non, elle allait avouer tout ces crimes. Elle avait joué, avec le feu, avec la vie, avec la mort, et, elle avait fini par perdre. Elle était bonne joueuse, elle n’allait pas tricher…
Un homme lui demandât de lui raconter son histoire, et, celle-ci, commençât, quelques fois arrogante, quelques fois sensible…
« Mon histoire… Que dire sur mon histoire… En plus, je suis sûre que tu sais déjà tout, mais passons… Ma mère m’a élevée seule. Fallait être courageuse !! Et persévérante surtout !! A vrai dire, je pense, j’aurais été à sa place, je me serait pendue ou sinon, j’aurais abandonné cet enfant maudit. Ha ha !! Mais bon, passons ces détails futils. Elle s’appellait Sowelu, c’est un nom scandinave, c’est spécial pour une japonaise, bref, elle fut donc ma seule famille. Enfin, bien que j’ai retrouvé mon père, sa nouvelle femme et leurs deux fils bien après et que je les ai fait carbonisés. Vous savez, cette nuit du vingt-sept octobre, à Nara, où ont été accusés des jeunes du quartier… Hé bien, c’était moi, pas eux. Ha ha ha !! Toutes ces fois où je vous ai bernés !! Je me suis bien jouée de vous !! Je me suis bien amusée avec vous !! Vous étiez de si bons jouets !! »
A ces mot-ci, la jeune fille se reçut un coup de point sur le côté droit. Elle se mit à saigné du nez, mais ce n’était pas grave, elle attrapât un des mouchoirs sur la table et s’essuyât avant de boire un peu et de reprendre, toujours aussi arrogante, déconcertante…
« Bref, ma mère m’élevât seule, enfin, si on peu appeler ça ‘élevée’, et en plus, ça ne durât pas longtemps, car, elle se trouvât de nouveaux fiancés, mais pour elle, enfin, pour eux, je n’était pas sa fille, j’étais celle de la voisine ou de la cousine, celle qu’elle baby-sitter… Enfin, c’est à cette période-ci que tout c’est déclenché, elle ne s’occupait plus de moi, et cela m’énervait au plus haut point, j’avais trois ou quatre ans à l’époque, mais je la détestais déjà. Je passais mon temps à l’école où l’on me faisait faire des trucs stupides, et ce à un point que vous n’imaginez même pas !! Colorier, faire des courbes, jouer avec de la patte à modelé… Quelle stupidité !! Et moi, je m’ennuyais terriblement… Un jour, j’avais cinq ans, même pas, je voulait faire souffrir ma mère, et, sans me vanter, j’étais déjà très intelligente, une petite génie !! Alors, en rentrant chez moi, je suis allée dans le garage, prenant un bidon d’essence, déversant son contenu dans l’intégralité de la maison, jusqu’à la cuisine, j’attrapais alors une allumette, et « Crac » tout prit feu. Je suis partie des flammes, sans aucunes craintes, juste le désir de voir ma mère et son homme crevé. Oui, j’ai toujours aimé le feu, la violence, les cendres. »
Un peu choqué, l’homme ne savait que répondre, et, durant une dizaine de minute, un silence limpide régnât dans toute la pièce...
« Voilà pour mon enfance, rien de plus, du moins, d’important ou qui ait le mérite d’être conté, alors, je passe… A douze ans, je rencontrais Nathan, un américain arrivait dans mon lycée, c’est grâce à lui que j’ai eut la foie de devenir bilingue. Que ne ferait pas une fille pour plaire à un homme, je vous le demande… Bref, il était mignon, enfin, non, beau, magnifique, mais je m’égare. Il était plus noir que moi, plus sombre, franchement, je n’aurais jamais cru trouver quelqu’un comme moi, enfin, pire. Ce gars, il avait cinq ans de plus que moi, et, en même pas un mois, on était ensembles, inséparables. Ma mère, car elle avait survécue, malheureusement, à l’incendie, avait sombrée dans la drogue, et c’était lui qui lui fournissait sa Cocaïne. Bref, il devint un modèle pour moi, une idole, et, on a fondé notre commerce. Trafique de drogues, armes, contrefaçons, des putes même. Cependant, on ne s’attaquait jamais aux animaux ou aux organes. Bref, nous étions les deux seuls, avec mon imbécile de mère, cramée et droguée, qui savions ce que j’avais fait de ma vie, et j’étais la seule à savoir ce que lui, avait fait de la sienne. Enfin, notre couple n’était pas basé que sur le trafic, mais aussi sur un amour, surtout charnel, il faut l’avouer, mais aussi, il avait a y gagner, j’étais son outil, son jouer, quelque chose sur lequel il pouvait compter, et moi, j’avais ses lèvres sur les miennes… »
Un peu choqué, les deux gardes furent surpris qu’elle se qualifie elle-même d’objet, par contre, celui face à elle observait son air rêveur, un peu nostalgique, comme si elle voulait qu’il l’embrasse encore, comme si elle voulait à nouveau se retrouver dans ces bras…
« Bientôt, j’avais seize ans, lui vingt et un, on avait besoin de fric, enfin, non, on voulait plus de fric, parce que, on était pas pauvres. Je vivais chez lui, j’avais oublié ma mère, morte d’une overdose. Personne ne lui payât des funérailles, enfin, si, la voisine, par pitié de ce qui lui était arrivée dans sa vie… Bref. On avait prévu de braquer un endroit, mais lui, il ne ferait rien, il allait s’envoyer à l’air avec une de ces catins, et ça ne me dérangeait pas, ça ne me dérange toujours pas d’ailleurs, je vous l’ai déjà dit, je n’était qu’un jouet pour lui, et elles, elles avaient le même statuts que moi, sauf que j’étais sa poupée préférée, les autres, elles, ne duraient jamais, et, étaient souvent retrouvée mortes le mois qui suivait… Mais passons… Une fille, qui le voulait, une ancienne dite amie, s’approchait de lui. Je ne voulais pas le lui laisser. Elle était belle, elle était prête à se laissé dépucelée par Nath’, et ça, jamais je l’aurais laissé faire, alors, elle serait ma victime. Son père était bijoutier, ça tombait bien… Bref, ce fut un hasard, mais il y avait ce gars, dans la boutique, un politicien à trois dollars soixante-deux, et encore, je suis gentille. Bref, j’ai gagné pas mal sur ce coup. C’est là où j’ai croisé Makie, cette fille que j’détestais, et, j’ai voulue la tuer, j’ai pas réussit, juste, je lui ai arraché son pentacle, autour du cou, une chose que je lui avait offerte, il y a bien longtemps, bref, je l’ai détruit, par les flammes, en même temps que ça maison… Ainsi que cette gar*e... Passons, depuis ce jour, depuis qu’il a sut que je pouvais être jalouse de celle qui n’était pas ces jouets, il ne m’a gardé que moi, rien que moi. Il n’en a plus jamais pris une autre, même quand nous étions séparés, on s’est liés par le sang, je n’oublierais jamais ce jour… Si beau, avec tant de sang autour de nous… »
La brunette se tût alors, repensant à ces moments d’extases. Une larme coulât sur la joue de la jeune fille, se mordillant un peu la lèvre, ce fut l’interrogateur, en tapant du point sur la table, qui la ramenât à la réalité…
« Puis, j’avais dix-neuf ans, on a décidé d’aller vivre à New York, j’ai construit des bombes, des armes, des gadgets illégaux, bref, des trucs qui nourrissait encore plus notre commerce, j’ai dut faire un autre incendie, un client qui n’avait pas payé, mais à part ça, rien de bien passionnant, sinon lui… »
Et, Hoshi continuât son récit. Elle n’avait parlé qu’en japonais, en fait, elle avait dit qu’elle était bilingue, en réalité, elle parlait plus de langues que ça, mais moins bien, bref, on lui annonçât alors qu’elle serait envoyée à la mort, ou presque, et ce fut ainsi qu’elle arrivât à Exil…
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MiaKym Lameï
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| Sujet: Re: Hoshi Seikyo [Prisonnière] Ven 12 Déc - 16:22 |
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Re-Bienvenue parmi nous Hoshi-Chan! ^^
(Ou devrais-je dire Re-re-re-Bienvenue?)
Il n'y a bien entendu rien à redire:
Présentation Validée!
Ta cellule demeure la A-01, à inscrire dans ton profil. ^^
Amuses-toi bien sur le forum,
et merci de nous avoir suivit une fois de plus. ^^''
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| Sujet: Re: Hoshi Seikyo [Prisonnière] |
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Hoshi Seikyo [Prisonnière] |
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