Caractère:
Ashtal possède un caractère qui lui est changeant selon sa compagnie. De nature manipulatrice, il n'est pas quelqu'un qui va sauter au devant du danger, bien au contraire il préfère garder sa rancune et attaquer avec discrétion le moment venu. Et bien sur s'il a le choix de prendre les armes ou non, c'est avec joie qu'il choisira le deuxième; ayant compris que contrairement au corps l'esprit prend beaucoup plus de temps à se réparer.

Le jeune homme est un beau parleur et aime provoquer. Considérant la vie injuste et cruel envers lui il n'attend plus qu'une chose avec hâte: la mort. Il évite de son mieux à s'attacher la moindre parcelle de bonheur, car il sait qu'elle finira par se faire détruire comme tout ce qu'il a un jour aimé. C'est pourquoi Ashtal se moque bien des règles, de ses limites et de tout ce qui l'entoure. Mais comme l'on entend souvent: l'instinct de survie est plus fort que l'envie de la mort, c'est l'une des raisons pour laquelle il est toujours vivant, une autre est que le suicide est un geste infecte et lâche à ses yeux.

Il y a tout même une chose envers laquelle il a un peu de considération: les femmes. C'est peut-être le fait qu'il est un vrai coureur de jupon et aime épaté la galerie, Ashtal est un véritable gentlemen envers les dames. Il leur voue un très grand respect et les tien haut en estime, même si en apparence il ne fait ça que pour passé une nuit dans les draps de la belle et disparaitre le lendemain.

Physique:
Loin d'avoir l'air du plus viril des hommes, Ashtal possède tout de même un certain charme. Grand et mince, il a la musculature d'un homme de 21 ans qui n'a jamais pris la peine de passé de longue heure à s'entraîner sans pourtant être resté inactif. Le jeune homme ressemble beaucoup plus à son père d'origine asiatique, qu'il ne connaît pas, qu'à sa mère qui est anglaise. Tout comme son père, il possède sa silhouette, ses yeux en amande et de beau cheveux naguère noir, coupé court en arrière et un peu plus loin vers l'avant. Le reste, ses traits fins, le bleu ciel de ses yeux, son nez et sa peau pâle, il l'a hérité du coté de sa mère.

Durant son adolescence Ashtal c'est amusé à marquer son corps pour provoquer les professeurs, les étudiants autour de lui ainsi que le directeur du collège où il allait. C'est pourquoi l'on retrouve diverses tatouages sur son corps, mais il prend tout de même soin à ce que chacun des tatouages est un sens. S'il faut qu'il marque sa peau d'une encre indélébile, il faut que ce soit quelque chose qu'il voudra toute sa vie. Il se marque donc, le plus souvent de petites citations en japonais -c'est plus esthétique à voir qu'une autre langue-. Le dernier il se l'est fait quelque jour avant le procès final qui allait signer la fin de sa vie et ça disait: Il faut voir par delà les apparences, par delà les différences, par de la ses sentiments, le monde est un cauchemar et j'y suis enfermé, le monde est un enfer et j'y suis un damné. [!Je ne suis pas l'auteur de cette belle citation! c'est mon amie A.D.A qui la créé ^^] Sinon il s'est également amusé à percer son corps. Il possède 3 boucles d'oreilles à gauche et 2 à droite, un percing au sourcil droit et un dernier à la lèvre inférieur.

Quant aux accessoires, bague, collier et bijoux tout autres il ne possède qu'un collier dont la chaîne fait trois le tour de son cou et au bout duquel pend une petite croix en argent. L'autre objet qu'il tient à garder toujours sur lui est une carte. Une carte des plus normal représentant un as de coeur. Il attache une grande importance à ses deux objets et veille à toujours les avoir sur lui.

Histoire:
Mathieu, appelons ainsi pour commencer puisqu'il s'agissait de son premier prénom, est le fruit d'un adultère. Sa mère était issus d'une noble et riche famille d'Angleterre et depuis sa naissance elle était promise à un autre homme de même classe qu'elle. Comme dans toute histoire d'amours dramatique, il fallu que la jeune femme s'éprenne d'un homme qu'elle avait croisé dans les rues et avec qui elle n'avais aucune chance de finir sa vie sans se voir déshérité et renier de sa famille. Elle décida tout de même d'entreprendre une liaisons amoureuse avec dans l'ombre. Ce n'est qu'après un de leur débat amoureux, quelque jours avant le mariage de la jeune femme et de celui qui lui était promit que l'amant et elle eurent une grave dispute. L'homme X ne souhaitait pas voir sa belle se marier avec un autre et elle ne pouvais dire non, car elle tenait énormément à sa famille et ne voulais pas leur faire préjudice. C'est donc sur cette dispute qu'ils coupèrent tout liens entre eux et que la femme parti se marier sans savoir qu'elle portait en elle le fruit de son pêché.

Les semaines passèrent et la dame ne voyant toujours pas ses règles arriver, fit un teste de grossesse en cachette. Bien sur le résultat fut positif et la femme se trouvai dans un sérieux dilemme, car elle savait très bien que cet enfant n'était pas de son époux. Aller se faire avorter dans l'ombre aurait sûrement été la plus sage décision qu'elle aurait pu prendre pour elle et le futur enfant, mais elle préféra le garder. Au tout profond elle priait pour que son gène soit plus fort, car son vrai père qui était d'une ethnie différente. Elle fit donc croire à son mari que l'enfant allait être de lui. 9 mois plus tard se fut dans un grand hôpital que la femme accoucha sans complication et quel ne fut pas son soulagement lorsqu'elle s'aperçut que son enfant ressemblait à n'importe qu'elle autre bébé naissant purement anglais. Du moins c'était pour l'instant...



Le soleil était haut dans le ciel et partout dans le pensionna l'on pouvais entendre les bruit de pas des enfants sur le raisonnement de fond du grand cloché. Tous étaient impatients, car après de longs mois seul leurs parents venaient faire un tour. Mathieu se tenait dans la foule, il avais maintenant environ 4 ans presque 5, le coeur serré et remplis de joie à l'idée de revoir sa mère et son père. Sa mère passait beaucoup de temps avec lui, dès qu'ils en avaient l'occasion, mais pour sa relation avec son père, Mathieu et lui ne s'était pas vue depuis 3ans. Le travail étant la raison, car il devait beaucoup voyager.

Un instituteur ramena le silence et le calme parmi les jeunes et fit l'appel pour que parent et enfant puissent se retrouver. Lorsque se fut le tour de Mathieu, il fit quelque pas en dehors du regroupement, chercha sa mère et une fois qu'il l'eut repéré il couru vers elle, bras grand ouvert. Comme s'il avait répété se manège mainte fois, la femme se baissa pour accueillir son jeune garçon, mais cette fois n'était pas tout à fait pareille. L'étreinte qui venait de se refermer sur lui semblait plus protectrice, comme lorsque l'on à peur déchaper un objet fragile ou quelque chose que l'on sait éphémère. Le petit leva les yeux et sembla voir une once de crainte dans les yeux de sa mère. Il compris bientôt très vite pourquoi. Lorsque Mathieu sorti des bras de sa mère pour saluer son père, finalement de retour, il resta tout aussi pétrifier que l'expression qu'il vit se dessiner sur ceux de son paternel. L'homme debout regardait d'un air mi-terrifié, mi-dégouté Mathieu, les lèvres semi ouverte se demandant se qu'il devait dire.

Les deux hommes restèrent un moment ainsi à contemplé l'inconnue qui se trouvait devant leur yeux. L'un blond comme le blé l'autre noir comme la cendre. L'un dont on ne douterais pas une seconde de ses origines purement britannique et l'autre dont on sentait parfaitement la souillure asiatique couler dans du sang anglais. Cet enfant n'était pas le sien et il le savait. L'homme cracha à terre, juste à coter de Mathieu et parti après avoir souffler entre ses dents:

"Bâtard... khss quel horreur!"



"[...]C'EST INACCEPTABLE!"

"m... mais se n'est pas de sa faute..."

Mathieu se trouvait dans la pièce voisine, tout près de la porte à jeter un léger coup d'oeil à travers l'entrebâillement de la porte. Le coeur serré il espionnait la conversation que sa mère avait avec le directeur du pensionna. Un homme fort riche et influent et qui tenait par dessus tout à la réputation de son institution privé. Sa voix diminua d'un ton.

"Écoutez Joanne. Je sais que vous êtes une personne de bonne famille et que cette fâcheuse histoire vous fait beaucoup de tord. C'est une erreur de jeunesse -bien sur, beaucoup plus grave que la plus part commette et aussi elle est malheureusement irréversible- Je suis donc près à vous proposez une solution. Votre réputation n'en coûtera rien et le petit pourra bénéficier d'un logis au pensionna et d'une bonne éducation." il marqua un pause et regarda gravement la femme dans les yeux avant de poursuivre. "Vous n'avez qu'à expliquer qu'il est le résultat d'un viole et que vous ignoriez votre état. Que vous aviez préféré gardez sous silence se fâcheux incident et, aussi, je croit que pour la crédibilité des choses vous ne revoyez plus jamais, sous aucun prétexte votre fils. Vous le laisserez à nos bons soins, puisque vous avez pitié, et payerez le montant que n'importe quel parents nous donne pour que l'on garde leur enfant. Ainsi vous évitez un trop grand scandale et votre fils auras une bonne éducation."

"Vo... vous croyez que c'est vraiment la chose à faire?"

"Oui, se serez le mieux pour vous et le petit."

"Et qui s'occuperait de lui?"

"Mathias, s'en chargerai, n'ayez crainte nous traiterons le petit comme il se doit."

"de..dans se cas...Très bien... je vais faire se que vous me dites..." conclut-elle en fondant en larme devant le directeur et son fils qui venait d'entendre toute la conversation.



Le ciel venait de s'assombrir, une ou deux étoiles avait réussi à percer le voile de nuage et quelques lampadaire éclairer le portail du pensionna laissant apparaître deux silhouette sur le chemin. Mathieu était dans les bras de sa mère, les yeux cuisants de larmes autant l'un que l'autre: ils étaient en train de faire leur adieux.

"pourquoi mère? S'il vous plaie ne m'abandonnez pas!" Joanne, ne pouvant affronter le regard que lui lançait son fils, détourna la tête. Ne sachant quoi lui répondre elle se contenta de lui donner a phrase prémâcher qu'elle s'était fait rentrer en tête pour se convaincre elle même que c'est se qu'il fallait faire.

"Je... Ne t'en fait pas mon chérie! C'est mieux ainsi... Tu... tu auras une meilleure vie ainsi..." Prenant une grande respiration pour se remplir de courage, elle pris doucement son fils par les épaules et l'éloigna un peu d'elle. Le tenant ainsi devant elle, la jeune femme prit un instant pour gravé dans sa mémoire le petit qui se trouvait devant elle. Après une nouvelle inspiration et s'essuya ses yeux du revers de sa main.

"Aller soit fort, je compte sur toi pour écouter se que ton tuteur, Mathias, te diras..." Voyant ses émotions revenir aux gallos, elle attira son fils dans ses bras pour le serrer une dernière fois dans ses bras. Mathieu lui faisait de son mieux pour se contrôler, sans plus de succès. Lorsqu'il fut a nouveau blottit contre sa mère, il aurait tout donner pour pouvoir y rester accrocher et pouvoir s'enfuir loin de tous avec elle.

"Tu lui ressemble tellement... À ton père.... N'est jamais honte de qui tu es..." Se fut les dernier mot qu'elle lui chuchota à l'oreille avant de déposer un doux baiser sur son front et de s'en aller en se retournant pour lui sourire une dernière fois avant de rentrer dans la voiture qui les séparerait à tout jamais.

"Je t'aime..." murmura le petit avant de se laisser tomber à genoux devant le portail. Il resta la une bonne heure à pleurer et il y serais surement rester toute la nuit si Mathias ne serait pas venu le chercher.



Se furent les années les plus plus marquantes de sa petite enfance et il était loin de s'imaginer que tout allait encore s'empirer pour lui. Son histoire fut très vite répandu dans le pensionna. Pas un étudiant ou un professeur ne connaissait pas ses réels origines et dans une institution aussi reconnu remplis d'enfant de riche les apparences étaient très importante. Personne ne manquait un moment pour lui rappeler son sang et sa situation, car maintenant que sa mère l'avait abandonné il n'était plus qu'un bâtard orphelin à qui l'on payait une éducation par pitié, car en vérité il n'as aucun argent. Les amis que Mathieu s'était fait l'avait très vite déserter.

Il était désormais seul ou presque. Son tuteur désigné était différent des autres, lui faisait preuve de sympathie envers le petit. Étrange, peut-être, mais Mathieu ne s'y était pas attarder sur le comment. S'il pouvait avoir une oreille pour l'écouter, un coeur pour l'aimer et des bras pour le protéger c'est se qui comptait. Lorsqu'il était petit le caractère de Mathieu était très différent. Enfant il s'agissait d'un jeune garçon, un peu fragile et pleurnichard. Incapable de se défendre seul il se laissait faire lorsque ses compagnons le maltraitait pour ensuite aller pleurer dans les jupes de Mathias.

C'est en grandissant qu'il compris qu'il ne pourrait pas se faire protéger toute sa vie par son tuteur, qu'il lui fallait grandir et prendre sa place dans la vie. Il devait avoir aussi environ 15 ans lorsqu'il compris qu'il ne pourrait jamais faire parti du lot, qu'il était différent et devrait vivre ainsi. C'est pourquoi durant cette phase d'adolescence il fit tout se qui lui était possible pour affirmer sa différence. On le traitait comme un bâtard, un enfant des rues, impolie, rebelle, très bien! C'est se qu'il allait être, que s'il se fasse écœurer à l'avenir se soit avec une vrai raison. Malgré les objection de Mathias, Mathieu se teignis les cheveux en bleu et modelât son corps pour le rendre tel qu'il l'est maintenant. Le petit garçon bien sage, qui suivait les règles, qui essayait de s'intégrer et de ne pas se faire remarquer s'était totalement transformer en un grand jeune homme au couleur criante, se moquant de se que les autres pensent et qui faisait tout pour attirer l'attention. Celui qui se cachait jadis derrière son tuteur n'était plus.

[... Suite]

L'année de ses 17 ans fut également une année haute en émotion et en péripétie. Se fut le point tournant de sa vie. C'est cette année là où il chercha l'identité de son véritable père. Qu'il retrouva sans plus de problème et vit en même temps qu'il se moquait complètement du fils qu'il avait fait, car il avait maintenant sa propre famille à s'occuper. Se fut également cette année là où il décida de changer de nom, changeant Mathieu pour Ashtal. Nom d'un personnage mi ange mi démon, qui le représentait et qu'il s'était créer étant plus jeune. Mais se qui fait de ses 17 ans une année marquante et cette évènement, qui le hante encore, parfois, la nuit.



L'été venait à peine d'arriver et le soleil brillait déjà tout haut dans le ciel, réchauffant la ville faisant oublier le dur hiver qu'ils avaient eu. Ashtal, ainsi c'était-il rebaptisé, avait profité de cette belle journée pour prendre sa journée de libre et la passé avec sa belle. Une belle jeune fille, blonde comme le blé, aux habits quelque peu extravagant et à l'imagination aussi grande que sa beauté. Elle se prénommait Jasmine. Les deux tourtereaux s'étaient rencontré par pur hasard dans la rue, mais passons les détails de leur rencontre. Ils passèrent donc la journée ensemble, à se promener tout en discutant de toute sorte banalité. La soirée se serait bien terminer, si tout se serait fini comme prévu après le cinéma.

Ashtal en galant petit amie proposa de raccompagner sa bien aimée au seuil de sa porte. Après les quelques rire qu'ils échangèrent à la sorti du cinéma, le reste du trajet se passa en silence. Jasmine accrocher au bras de son cavalier marchait tranquillement la tête accoté sur son épaule. Le silence qui régnait entre les deux amoureux était loin d,être un silence lourd ou gênant, mais plutôt emprunt d'une grande complicité. Comme on dit, le silence veut souvent dire plus de chose que les mots.

Quelque instant plus tard, d'autre bruits de pas se rajoutèrent au leur. Loin de s'en inquiété Ashtal n'y porta guère attention. Le trottoir était un endroit publique et il n'était pas rare de croiser d'autre personne, même à cette heure, dans se cartier. Par contre, lorsque les murmures dans leur dos se firent un peu plus présent, Ashtal se laissa aller par sa curiosité et du coin de l'oeil jeta un léger regard derrière. La seule chose qu'il eu le temps fut un gars de son institution et un objet contondant se diriger vers eux. Surpris, il n'eut pas le temps de faire un mouvement pour l'éviter et s'effondra sur le sol assommer par le coup. Jasmine eut droit au même sort qu'Ashtal et en moins de quelque seconde se retrouva allonger à ses cotés.


Il faisait noir, lorsqu'Ashtal reprit tranquillement conscience, bien qu'à demi-comateux vue le coup qu'il avait reçu. Bien vite il compris qu'on lui avait mis un sac sur la tête et qu'il ne se trouvait plus dans la rue. En attendant de faire le trie des derniers évènement et de saisir l'ampleur des évènements présents il écouta attentivement les bruit aux alentour. Un personne ou deux, il n'aurait su dire exactement, faisait les cent pas dans la pièce. Deux autres beaucoup plus loin chuchotait si bas qu'Ashtal ne pu suivre leur discutions.


"La 'tite demoiselle c'est enfin réveiller!" Un autre venait d'entrer. Il y eu des bruit de pas, suivit d'un bruit lourd, semblable à quelqu'un que l'on laisse tomber sur un lit, et un cri de femme. Ceux déjà présent dans la pièce arrêtèrent leur action. Les deux dans le fonds qui parlait précédemment vinrent vers Ashtal tandis que que ceux, ou celui, qui marchait alla rejoindre le nouveau vers le lit. D'un coup sec l'on enlevait le sac qui recouvrait la tête d'Ashtal.

"Aller on se réveille!"

Ashtal ferma les yeux à cause de la luminosité, mais une fois qu'il s'était réajuster à l'éclairage il pouvait très bien distingué se qui se passait devant lui: Ils étaient 5, 7 s'il se comptait avec sa petite amie, et Ashtal les connaissait tous. Il s'agissait de la clique du fils au directeur, petit groupe qui depuis son enfance s'était amuser à le martyriser et le faire chier. Ils avaient du apprendre qu'il s'était fait un blonde et étaient venu s'amuser un peu. Pendant qu'Ashtal restait assit à comprendre se qui était en train de se passer, Jasmine elle se faisait attacher après le lit par les 3 autres gars. La rage montait tranquillement en Ashtal, qui décida finalement de se débattre.

"ha, ha! tu peux toujours essayer, mais avec se qu'on ta injecter il doit plus te rester gros de force!"

Il continua pareille à se débattre un instant, mais il voyait bien que se qu'il avait de force l'avait abandonné et ses poings et pieds étaient très bien lié. Lorsque les trois voyous eurent terminer d'attacher la jeune fille au lit, l'on tira un chaise et fit assoir Ashtal dessus. Ainsi il allait pouvoir bénéficier d'une meilleure pour le spectacle que les 5 jeunes hommes allaient lui présenter.


C'est ainsi que les 5 étudiants chacun leur tour abusèrent sexuellement de Jasmine devant les yeux d'Ashtal, sans qu'il ne puisse faire quoi que se soit que se débattre inutilement. Une fois le viole fini, ils mirent en action la deuxième phase de leur plan. Laisser deux témoins de se qui venait de se produire était dangereux, c'est pourquoi ils droguèrent les deux amoureux. Déshabillèrent Ashtal et l'allongea à coté de sa bien aimée, une fois qu'il fut inconscient.

Lorsqu'Ashtal se réveilla se deux trois jours s'était écouler et il se trouvait à l'hôpital. l'infirmière en place lui expliqua qu'on l'avait trouver sans connaissance à coter d'une jeune femme morte d'une overdose et que lui aussi avait passé proche de la mort.

L'histoire passa devant la cours. Ashtal avait raconter sa version des faits qui fut appuyer de plusieurs preuves. Tout avait commencer pour le mieux, jusqu'à se que les preuves disparaisses mystérieusement et que le jury déclare les accusé non coupable par manque de preuves et étant donner que le témoin avait été retrouver drogué avec la défunte, son témoignage était peu crédible. En suite, comme s'il ne suffisait pas que les vrai coupables s'en sorte: la famille de Jasmine se firent souffler par une personne, qui reste encore inconnue du grand publique, qu'Ashtal était le seul responsable de la mort et que cette même personne fournisse les moyens au parents d'engager un bon avocat afin de condamné le 'coupable'.

L'affaire fit à nouveau le tour des média pointant Ashtal comme nouveau coupable et étrangement de nouvelles preuves firent leur apparition. N'ayant pas d'argent, le jeune homme se vit offrir un avocat, des plus médiocres, au frai de la couronne. Après deux mois d'attente il fut finalement condamné pour avoir laisser sa copine mourir d'une over dose à coté de lui. Une chance il était encore mineur aux yeux de la loi se qui plaida en sa faveur pour évité la condamnation à mort, par contre son crime était assez grave pour le forcé 3 années de prison pour adulte.

Les trois années qui suivirent se classe dans les pires moments de son existence. S'il croyait que les élèves du pensionna lui faisait la vie dur se n'était rien comparer à la vie de prison. Il appris rapidement que se battre ne servait pas à grand chose et que ses paroles avaient beaucoup plus de tranchant qu'il ne le pensait. Il se construisit une carapace encore plus solide envers l'extérieur, se moquant de qui il provoquait et comment tout cela pouvait bien finir. Du moins c'est se qu'il laissait croire, car au fond de lui il nourrissait cette rancune envers ceux qui l'avait condamné. Il ne se passait pas un soir ou il ne pensait pas à un nouveau moyen de se venger et ainsi il se prépara ainsi toute une petite machination pour punir les vrai coupables. Coupable dont il connaissait l'identité, car durant les mois de son procès il avait fait sa petite enquête sur qui avait fait la suggestion aux parents de Jasmine. Il n'avait pas eu a gratter beaucoup pour découvrir le nom des cinq gamins qu'Ashtal avait essayer de poursuivre.

C'est donc après avoir passé ses trois longues années en prison, qu'il retrouva finalement sa liberté. Liberté qu'il ne savoura que l'instant de quelque mois, le temps de mettre en exécution sa vengeance. Il se pris un petit appartement et de ses voisins d'étage il était vue comme un jeune homme discret qui ne sortait que pour faire les courses. Ashtal avait décider de faire profile bas, le temps que dans l'ombre il montait son coup. Tout était prévue, jusqu'au plus petit détail. Il avait simplement omis l'éventualité que tous ne meurt pas durant l'accident...



Les membre du juré était parti depuis presque 1heur délibérer sur la sentence. Pendant se temps tous pouvais vaquer à leur occupation, sortir prendre l'aire, se dégourdir les jambes et boire un petit café. Enfin nous disons tous, sauf l'accusé. Habiller d'un beau costume, les cheveux bien coiffé, Ashtal était évaché sur sa chaise et écoutait son avocat, donner par le gouvernement, qui racontait encore ses salades. Le jeune homme se demandait comment il pourrait bien y échapper cette fois? Alors qu'il avait avouer sans regret ni honte qu'il était belle et bien l'auteur du crime. Jamais le juré ne prendra pour lui même s'il s'était venger pour la bonne cause. La justice est ainsi faite et il l'avais depuis longtemps compris.

Le juge revint en salle, et bientôt la foule de journaliste qui était sorti revint dans la salle. Une fois que tous fut entrer, le juge donna quelque coup de marteau pour faire taire la salle. Il se tourna vers les membres du jury. Ashtal ferma les yeux, il connaissait bien la suite

~Est-ce que les membres du jury[...]~

"[...] sont arrivé à un verdict?"

~Les même mots que l'ont voit dans ses films de police...~

Le représentant se leva.

~et les même mots qui mon condamné il y a 5 ans... : Oui, votre honneur. Pour le crime de ses trois garçon[...]~

"[...] nous déclarerons l'accusé ici présent, coupable votre honneur [...]"



Le soleil était à sont zénith et même s'il n'avais plus vraiment conscience de l'heur où du jours que l'on était Ashtal sentait son heur venir. Ça libération approchais. Il le savait, un prêtre était venu pour qu'il se confesse c'était hier. Ou peut-être se matin. Il ne le sait plus vraiment, il ne dort presque plus et même si les repas se fond à des heures régulière il lui arrive de sauter un diner de temps à autre. Qui aurait cru un jour se trouver à la place du personnage principal d'un roman lut durant ses études? Assis dans le fond de sa cellule écarter de celle des autres et sans fenêtre il restait là, dos contre mur à pensé. Se demandant s'il devait être heureux, car il allait enfin pouvoir voir sa vie arrêter? Que le destin ne se moquerais plus de lui, ou si au contraire il devait se sentir triste ou enrager face à cette injustice qui l'avais conduit où il est rendu.

~khh, au moins se mec il avait eu le droit à sa dernier visite... Où il a pu revoir sa p'tite... Dommage que moi il ne me reste plus personne... Et bien, si l'on va vraiment tous à la même place une fois mort, je dirais mes félicitation à se bon vieux Hugo... très réaliste son oeuvre... [référence à Victor Hugo qui à écrit le dernier jour d'un condamné]Ah, mais c'est vrai pour ça il faudrait que je me rende au paradis!~

C'est pris d'un irrésistible fou rire qu'Ashtal passa ses dernières heure en cellule.



Il y était. Il y était finalement, sa dernière demi-heure à vivre, même pas, allait bientôt être fini. Ashtal était maintenant assis sur la chaise électrique la respiration lente, mais le coeur battant à la chamaille. Dans la main droite il tenait une carte. C'était sa dernière volonté pouvoir au moins mourir en gardant sur lui se qu'il avait de plus précieux: la carte de l'as de coeur. Tandis que l'on vérifiait certain détail de dernière minutes et qu'on prenais soin de l'attacher correctement, deux trois journaliste et les deux garçon rescapé de l'accident se tenait en face de lui. De l'autre coter d'une grande fenêtre.

~quel joie de pouvoir être un animal de foire pour mes dernière minutes sur terre...~

"bon tout est prêt!"cria un voix en arrière.

~...heu attend... Il sont pas supposer rasez avant de passer quelqu'un sur la chaise électrique, sinon le courant passe pas ou mal je sais plus... >.> ~ Mais avant qu'il ne puisse exprimer sa pensé à haute voix, le rideau en fasse de lui se fermèrent et la lumière s'éteignit.


C'est ainsi que s'acheva "sa vie sur la terre" et qu'on le transférait sur cette île maudite. Le destin n'en avait pas fini avec lui et la vie non plus. C'est inconscient qu'il passa tout le trajet et qu'il fut envoyer dans sa nouvelle cellule.



Forces/Faiblesses:
Loin d'avoir la musculature d'un combattant, il est loin d'être felluette et sans défense. Ses techniques de combat se basant beaucoup plus sur la défense que l'attaque. Mais sa véritable force se trouve dans ses paroles, son esprit et sa discrétion. Quant à sa faiblesse, c'est loin d'être sa carrure. Il sait très bien évité les coups à défaut d'en donner. Non, sa vrai faiblesse se trouve en l'agente féminine et les enfants en qui il ne peut pas résister ou, du moins, presque pas*. Il possède également une autre faiblesse: son passé. Bien qu'il s'est convaincue que tout est en arrière de lui, c'est une blessure encore fraiche dans son coeur.


*Il est tout de même capable de ne pas aimer une femme, soit parce qu'elle n'est pas assez belle, parce qu'elle empiète un peu trop sur son orgueil ou simplement parce qu'il a finalement réussi a passé une nuit auprès de sa douce. Alors il n'est plus tenu de la courtiser.

Phobie: Les drogues en général. Il y a toucher une fois, contre sa volonté, l'expérience lui a laisser un très mauvais souvenirs et il s'en tien très loin pour ne pas raviver sa mémoire.

Eh bien ça m'a l'air complet tout ça!
Es-tu encore en cours d'édition ou as-tu fini?

Délit(s) commis: 3 meurtres prémédités et 2 tentatives de meurtre avec préméditation aussi.

Objets en votre possession: Une carte qui représente un as de coeur, qu'il a épingler après ses vêtements pour l'avoir à vue en tout temps et un collier avec une petite croix au bout, ainsi que tous ses percing.

¤ Autres: [//HRP]heu... c'est la que je croit que je suis vraiment, mais vraiment désoler de mon retard de fiche o_o.... j'avais perdu l'adresse du forum >.>, mais je suis contente de voir que ma fiche est toujours la et que TADA je vient de la finir =D[HRP//]

Personnalité de l’Avatar: Miyavi (chanteur Rock/jap.)

Trois mots clés dans les règles: [télépathie] [sushi] et le troisième je l'ai pas trouver *après avoir relu les règles 10 fois *et n'exagère pas xD* * [Marteau]
... tien en regardant pour voir si des règles avais changer j'ai vu que les mots clés ont changé :3 donc, [Diplodocus],[Dissection] *faut toujours que je relise plain de fois pour trouver le dernier*[Machination]



Je croit que mon autre dit tout.... xD mais je voudrai quand même encore m'excuser et dire que je serais pas mal moins.... longue ou absente pour le rp ^^

Longue? nooon ... Je rigole hein ^^

Bon et bien tu es VALIDE

Ta cellule sera la A-07, à noter dans ton profil. Et bien entendu bienvenue en enfer ^^

Quelque chose me dit que nous avons affaire à une Québécoise

Personnage très intéressant, j'aime bien les vengeurs
Amuse-toi bien parmi nous^^

Citation :

Ethan: Tu vas retrouver quelqu'un en arrivant sur Exil.
MiaKym: Hum? On a un nouveau membre?
Ethan: Tu verras...
MiaKym: Buh? *Se rend sur Exil* Ashtaaaaaaal!

Oui, c'était à peu près ça, hein Ethan?(On était au Tel')
Je ne ferai sans doute pas aussi long que d'habitude comme on l'est toujours, mais je tenais à te souhaiter enfin la bienvenue sur le forum! Je suis heureuse de voir que tu es de retour parmi nous (Je crois que le cri en témoigne), je crois que nous espérions tous voir ta plume revenir sur Exil! ^^

Comme tu pourras le constater, plusieurs nouveautés ont fait leur apparition sur le forum, si tu souhaites t'en informer, elles se retrouvent toutes dans la Catégorie des News. ^^
Amuses-toi bien sur le forum, et si tu as des questions ou commentaires, n'hésites surtout pas à nous en faire part! ^^

moi québécoise? :3 à moitié :D

Sinon merci beaucoup pour l'accueil :P

Citation :

Je suis heureuse de voir que tu es de retour parmi nous (Je crois que le cri en témoigne), je crois que nous espérions tous voir ta plume revenir sur Exil!

merci beaucoup, première fois qu'on me dit ça! ^^ (surtout après plusieurs mois d'absence)

Je m'en vais de sa pas poster ma joyeuse arriver :D