Nom: Mak (à l’origine Mckayne)
Prénom: Adara
¤ Surnom: La Sangsue
Sexe: Féminin
Age: 19 ans
Rôle: Prisonnière
Physique:
Adara est grande, mince et svelte. Elle a de longs cheveux noirs et soyeux lui arrivant au milieu du dos et d'une lourdeur faisant en sorte qu'ils tombent toujours droit et encombre son visage. Ses yeux sont d'un vert perçant, presque luisant, et son regard est d'une dureté à toutes épreuves. Les traits de son visage sont très fins et sa peau est d'une blancheur quasi cadavérique. Elle est tatouée de tribales sur l'épaule droite, le haut et le bas du dos. Son tatouage du bas du dos est composé de son surnom "La Sangsue". Elle est également percée un peu partout et possède des cicatrices pour chacune de ses victimes sur son avant-bras gauche. Elle a également deux croix renversées tatouées en bas de son œil droit.
Caractère:
Adara ne fait confiance à personne. Puisqu'elle n'a jamais vraiment connue l'amour, ce sentiment l'effraie et la rend très solitaire. Elle n'aime pas que l'on lui dise quoi faire et n'écoute jamais ce qu'on lui dit non plus. La toucher? Il ne faut même pas y penser! À ce seul mouvement vous vous retrouverez mutilé de partout. Elle est très sauvage, presque animal. Elle adore les jeux de la chaire et puisqu'elle a un grand charme, elle s'en sert souvent pour avoir se qu'elle veut et un peu de plaisir. Mais la plupart des hommes qu'elle courtise n'en ressortent pas vivant. Très intelligente et très rusée, elle manipule très bien les gens et possède un très grand charme qui attire bien les hommes. Par contre, elle est très susceptible et ne tolèrera jamais que l’on lui parle de son père. Dérangée, elle en est dangereuse puisqu’il n’est jamais totalement possible d’arriver à cerner parfaitement sa personnalité et ainsi prévoir ses réactions.
Histoire:
Je n'ai pas cherché à être criminelle, je le suis de naissance, même, j'étais prédestinée aux crimes. J’entends le son des barreaux se refermer et claquer derrière moi. C'est fini, je ne peux plus sortir. Cet enfant de pute de Smithy's! J'aurais dut me méfier de lui comme de tous les hommes. Il m'a roulé et maintenant je suis prise pour le restant de mes jours à subir des tortures inimaginables. On m'a dit que je subirais le même sort que j'ai bien voulu faire subir à mes victimes. J’ai du mal à y croire. Il n'y à personne, ou presque, d'aussi sadique que moi. Les gardiens ne seraient pas légaux. Mais une fois ici, tout le monde s'en fou. Qu'est-ce que j'ai fait pour aboutir ici? Des tas de choses.
Je suis née dans le nord du Canada, exactement où, je ne sais pas. Ma mère était tueur à gage et mon père un simple chasseur. Il était violent, très violent. Je n’ai jamais comprit pourquoi ma mère ne l'a jamais tuée. Elle l'aimait, c'est sûr, mais je ne comprends pas. Comment peut-on aimer un homme comme lui? Moi-même je le détestais! Chaque fois qu'il rentrait, il était saoul et frappait ma mère. Il allait même jusqu'à la violer. Comment un homme marié peut-il violer sa femme me direz-vous? À la manière qu'il le faisait et au cries et aux pleurs de ma mère, je peux vous dire que c'était loin d'être consentant. Je ne parlais pas, ne disais rien et faisais semblant de ne pas exister. Je ne suis jamais aller à l'école. Ma mère me donnait des cours à la maison quand elle ne travaillait pas. J’apprenais très vite, surtout la biologie humaine. Elle me fascinait. Quand mon père ramenait des bêtes à la maison je les ouvrais et les examinais pour trouver comment ils fonctionnaient différemment de nous. Je n'avais que 11 ans.
Mon père rentra alors un soir, saoul, comme toujours. Ma mère avait quelque chose à lui annoncer ce soir là, elle était enceinte. Puisque mon salaud de père ne voulait pas la croire et refusait obstinément d'avoir un autre "bâtard" à nourrir, il lui dit violemment qu'elle devait se faire avorter. Elle refusa définitivement et lui teint tête pour la première fois depuis qu'elle m'avait mise au monde. Il ne l'accepta pas. Il la battit alors plus violemment que jamais et la tua à l'aide d'un marteau. Pour se débarrasser du corps ensuite, il la balança aux chiens qui la dévorèrent sauvagement jusqu'aux os. Je n'avais que 12 ans quand j'ai assistée à la mort de ma mère. Encore une fois, je ne dis rien et garda tout pour moi.
Il se passa 4 mois, où je ne vivais qu'avec mon père. Ma mère n'étant plus là, c'est sur moi qu'il passait maintenant sa colère. Ma mère m'avait bien enseignée à me défendre, mais mon père était très fort et me faisait un peu peur. Mais un soir, il dépassa l'inimaginable. Il entra dans ma chambre et me déchira mes vêtements à l'aide de son couteau de chasse, m'entaillant la peau au passage. J'étais couverte de sang et je hurlais. Il me frappa alors au visage violemment pour me la fermer et me viola. Quand il eut fini, il me dit "Tu es aussi pute que ta mère" et me cracha au visage. Je restai là, dans mon lit, couverte de sang et dans une espèce de divagation. Ma mère m'avait toujours répétée " Les hommes sont comme des bêtes" et mon père " Les bêtes sont faites pour être tuées et manger". Vous devinez la suite? Ces voix n'arrêtaient pas de résonner dans ma tête, sans arrêt. Je descendis alors au sous-sol, ramassa la hache de mon père et allas le rejoindre dans le salon où il dormait. Je m’approchai de lui, visai d'abord ma cible et pris mon élan. Le plus grand élan de ma vie. Je le castrai. Il hurla alors de douleur. Ces sons me faisaient du bien, il avait enfin se qu'il méritait après toutes ces années. Je repris alors un deuxième élan et lui dédiai la hache en plein visage pour qu'il se taise. Ce qu'il fit automatiquement. J'étais carrément entrée dans une folie totale. Je découpai mon père en morceaux et les mis dans le congélateur. Je devais réussir à me nourrir. Les restants je les donnai aux chiens. Je passai des semaines dans cette folie, me nourrissant de mon père. Puis quand je n'eu plus rien à manger, je partie pour la ville.
Trois années s'écoulèrent où je ne faisais que dormir dehors, voler ma nourriture et faire des vandalismes pour me distraire. Puis un homme m'accosta. Ça démarrait très mal, puisque c'était un homme. Il me suggéra alors de travailler pour sa patronne. Travailler pour une femme? Ouais, ça m'allait. J'acceptai donc son offre et me présentai donc à cette femme. Elle était avocate et tramait dans des affaires louches également. On la surnommait Tali. Je n'ai jamais sue quel était son vrai nom. Pour moi, c'était uniquement Tali. J'ai donc travaillée pour elle comme prostituée pendant plusieurs années. Ça payait bien et je devais souvent en exterminer quelques uns alors j'y prenais mon pied. Je n'ai rencontrée qu'une seule fois Tali en personne. Toute les autres fois, je passais par ses collègues. Il n'y avait donc jamais de contact entre nous. Je connaissais son surnom, un point c'est tout.
Un jour, l'un de ses collègues me convoqua pour une affaire. Il me plut tout de suite. Il n'était pas désagréable à voir et sa compagnie n'était pas déplaisante. Je lui fis donc confiance. Grande erreur de ma part. Il s'appelait Smithy's. Vous comprenez alors pourquoi. Bref, nous sommes devenue amis. Il fut le seule ami que j’ai eu et que je n’aurai sûrement jamais, car ce fut une désastreuse expérience. Ma patronne venait d'être attrapée. J’eu donc peur de me faire également prendre puisque je travaillais pour elle et qu'il y avait sûrement trace de moi dans ses papiers quelque part. Je ne savais plus où aller, alors j'eu la brillante idée d’aller chez mon ami. J'étais désespérée et nous avons passé la soirée à boire. Comme l'alcool rend les gens très à l’aise, vous pouvez deviner comment le reste de la soirée s'est déroulé. Le lendemain je me suis éveillée, un révolver pointé sur mon front. Mon ami m'avait trahis. Il avait eu des démêlés avec la justice et pour se racheter il les aidait à capturer des criminels. À ce moment je regrettai d’avoir eu confiance en quelqu'un une fois dans ma vie. Le F.B.I. venait de me prendre.
Durant mon procès, Smithy's était présent et témoigna contre moi. J’appris également à ce moment là que c'était lui qui avait dénoncé ma patronne. Il s'était joué de tout le monde. C'est aussi à ce moment qu'il me questionnèrent sur ce qui était arrivé à mes parents 7 ans plus tôt. Je n'eu aucune retenue et leur raconta tout dans les moindres détails. Mon récit eu l'effet d'un gaz empoisonnant. Plusieurs personnes dans la salle sortirent en courant, la main sur la bouche, complètement dégoûtés de ma personne. Mais je restais de glace devant se spectacle et continuais de regarder tout le monde dans les yeux. Le jury délibéra et le juge rendit ma sentence. Emprisonnement à vie, sans possibilité de réadaptation civil. Les policiers m'accompagnèrent à la sortie, Smithy's s'y trouvait. Comme je passait à ses côté je me jeta sur lui et lui empoigna ses parties sensibles. Les policiers tentèrent de me faire lâcher prise en me tirant, mais j'enfonça alors mes ongles et Smithy's hurla.
-Arrêtez bordel!!!
Les policiers me lâchèrent donc et je me rapprochai alors de son oreille.
-J'aurais du te dédier le même sort que ses salles mecs pleins de pognons et de merde!
Je lui mordis alors l'oreille lui arrachant un autre hurlement puis, le noir complet. Je m’éveillai alors dans la voiture de police. Elle était dans une ruelle sombre et isolée. Je ne comprit pas alors pourquoi nous étions là. Je devais me rendre dans une prison, mais au lieu de cela, j'étais dans une ruelle d'où j'ignorais là localisation. Puis j'aperçut alors un fourgon blindé et deux hommes discutant, sûrement de mon sort. Je me concentrai et essayai de comprendre ce qu'ils se disaient quand les portes s'ouvrirent et deux autres hommes me firent sortir de force de la voiture. Je me débattis violemment, puis l'un des deux hommes qui discutaient s'approcha de moi, ouvrit une mallette pleine de seringues et en choisit une. À cette vue, je me débattis encore plus farouchement et l’autre interlocuteur vint me maintenir immobile pendant que l'homme à la seringue m'injectait je ne sais trop quoi. Tout devint flou et je ne pouvais plus bouger. Ils me placèrent donc dans le fourgon assise sur une chaise et complètement ligoté à elle. Les portent se refermèrent, me laissant dans le noire complet.
Je ne sais pas combien de temps au juste j'y suis restée. Mais quand on m'en fit sortir, je n'étais pas encore assez en forme pour me débattre et protester. Je les suivis donc en traînant des pieds, encore un peu dans les vapes. Ils me déshabillèrent et me firent prendre une douche glacée. Je me réveillai donc en poussant des hurlements. Je tentai de protester ensuite, mais ils me frappèrent au visage assez violemment. Je les suivis donc, une nouvelle tenue sur le dos, jusqu'à une cellule. Celle ou je suis en ce moment-même où je vous parle.
J'ai 19 ans, et ma vie est maintenant finie.
Forces/Faiblesses:
Très souple et très agile, il est assez difficile de la maintenir en place, parce qu’elle trouvera facilement un moyen de se déprendre. Mais une fois les bras dans le dos, impossible pour elle de faire un mouvement. Elle arrive assez bien à supporter la douleur, mais comme tout le monde sur terre, une limite existe. Provocatrice, elle n’arrive pas à discerner le moment pour s’arrêter, ce qui lui est plutôt fatale pour son bien-être. Les sentiments sont pour elle un lourd fardeau. À l’exception de la haine, bien qu’elle ne soit pas particulièrement bénéfique, les sentiments de compassions, d’amour, de peur et d’attachement la rendent complètement folle et elle n’est plus en contrôle de ses moyens.
Phobie:
Pharmacophobie peur des médicaments
Taphophobie peur d'être enterré vivant
Délit(s) commis:
Meurtres multiples de riches hommes d’affaires et prostitutions. Le compte? Regardez ses cicatrices sur son bras.
Objets en votre possession:
Rien du tout à l’exception des vêtements à son arrivé et de ses piercings.
¤ Autres:
Elle ignore totalement avoir une grande sœur (Astrid Kayne de surcroit)
Personnalité de l’Avatar:
Megan Fox
Trois mots clés dans les règles:
Tout en mangeant mes sushis, je me suis aperçut que je pouvais faire de la télépathie avec un marteau.